Retour sur la boisson lyophilisée à base d’huiles essentielles d’agrumes, innovation des étudiants BTS Bioqualité de l’ENILBIO de Poligny


Pour la classe de BTS bioqualité 1ère année, c’est une première, un projet coopératif. Mais qu’est-ce que c’est ? Et bien les élèves devaient fabriquer un produit à partir d’un  thème choisi par les professeurs. Un groupe devait travailler sur le  thème santé et devaient fabriquer une boisson lyophilisée à base d’huiles essentielles d’agrumes, écoutons-les :

« Bonjour,

Nous sommes en classe de BTS Bioqualité 1ère année et nous allons vous parler du projet que nous avons réalisé.

Nous devions fabriquer une boisson lyophilisée à base d’huiles essentielles d’agrumes. Alors que nous commencions à choisir les huiles essentielles nous apprenons que le lyophilisateur de notre école était hors service, alors nous avons pris la décision de fabriquer une brume d’ambiance à base d’huiles essentielles d’agrumes et d’eucalyptus. Nous l’avons nommé HOME SECRET.

Cela n’a pas été facile car il fallait faire beaucoup de recherche sur les huiles essentielles d’agrumes principalement, leur toxicité, leurs bienfaits sur la santé… Mais nos recherches ont abouti et nous avons choisi les huiles essentielles suivantes : orange, citron et eucalyptus. Leurs propriétés sur la santé correspondaient bien à notre thème car l’huile essentielle d’orange apaise, celle du citron et d’eucalyptus sont antibactériennes, une brume indispensable pendant cette période avec la COVID-19 qui ne nous rend pas la vie facile.

Malgré le confinement nous avons continuer nos recherches chacun de notre côté puis mis les idées, recherches en communs, demander les avis des uns et des autres. Nous avons commencé à préparer le cahier des charges du produit, avec le processus de fabrication et des analyses.

Nous sommes très fières d’avoir piloté ce projet car nous avons appris beaucoup de choses et acquis de nouvelles compétences, comme par exemple la communication au sein d’une équipe ou encore la méthodologie pour piloter un projet de A à Z. Après cette première expérience, nous avons également acquis les outils pour améliorer le pilotage d’un prochain projet. »

Photo ci-dessous de notre produit avec étiquette faite à la main :

Réalisé par : Camille, Melda, Céline, Bilityss, François.

Plus d’informations sur la formation suivi, BTS Bioqualité : https://www.enil.fr/formations/bts/qiabi-qualite

Plus d’informations : Christelle MILLESSE, christelle.millesse@educagri.fr

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Retour en images sur un projet mené avec les lycéens STL1 et l’ALCG de Poligny en mai dernier


Visuels réalisés à la suite d’une interview de S. LAGACHE, responsable site A.L.C.G POLIGNY, conduite en visio par les lycéens bac technologique STL1 dans le cadre de l’éducation morale et civique sur la thématique « Fragilités et liens sociaux ».

Plus d’informations sur la formation suivi, Bac Technologique STL : https://www.enil.fr/formations/bac-pro/bac-stl

Plus d’informations : Malvina GREVOT, malvina.grevot@educagri.fr

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Actu’DGER Mai/Juin 2021 – Le dossier du mois : l’agroalimentaire, le maillon entre le champ et l’assiette


Le numéro 8 d’Actu’DGER de mai/juin 2021 consacre une trentaine de pages dans son dossier du moi sur l’agroalimentaire, le maillon entre le champ et l’assiette. Le Réseau des ENIL est présenté aux pages 18, 19 et 20.

Cliquez sur le lien pour télécharger le numéro au format pdf : https://chlorofil.fr/fileadmin/user_upload/vitelu/actudger/actudger-08.pdf

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Ouest France – Bientôt un bar à mozza made in Nantes – Benjamin Limouzin s’est formé à l’ENILBIO


Presse, article paru dans le journal Ouest France du 15/05/2021.

Cliquez sur le lien pour lire l’article : https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/nantes-44000/nantes-bientot-un-bar-a-mozza-dans-le-centre-ville-26b8918e-af0a-11eb-a565-4ed4da7a1428#:~:text=La%20premi%C3%A8re%20laiterie%20urbaine%20bio,sous%20les%20yeux%20des%20visiteurs.

Bientôt un bar à mozza made in Nantes

Stéphanie LAMBERT.

La première laiterie urbaine bio de Nantes s’installe à deux pas de l’éléphant. Un drôle de défi relevé par deux ex-ingénieurs en aéronautique. Originalité : le fromage est fabriqué sur place.

Esther et Benjamin Limouzin préparent une drôle de reconversion depuis plusieurs mois. Dans quelques semaines, les trentenaires ouvriront la première laiterie urbaine bio de Nantes, à deux pas du grand éléphant, allée Assia-Djebar.

D’ici fin juin, on pourra découvrir le laboratoire du couple. Et assister à la fabrication de fromages italiens tels que la ricotta, la mozzarella ou, plus crémeuse à l’intérieur, la burrata. D’autres fromages affinés compléteront la carte, comme le saint-félicien ou le saint-marcellin. Auxquels s’ajouteront des yaourts maison, nature ou aromatisés, des crèmes dessert et des riz au lait. Ainsi qu’un rayon épicerie avec quelques produits bios locaux (sel, vin, miel).

Ainsi, sous les yeux des acheteurs en boutique, Esther et Benjamin Limouzin s’activeront tour à tour à montrer, en transparence, leur tout nouveau savoir-faire, acquis pendant le confinement.

Sous les yeux des clients, comme à la campagne

«  Nous voulons que cela soit visible aussi depuis la rue  », insistent les apprentis fromagers, qui espèrent, par la suite, proposer des ateliers et des dégustations sur les quelques tables à l’intérieur, dès que les conditions sanitaires le permettront : «  C’est important de faire revenir la production en ville, afin que les gens puissent se reconnecter à leur alimentation, sortir des barquettes sous plastique…  »

Leur projet de transformation du lait en fromage, comme à la campagne, ils y pensent depuis un moment. L’un originaire de la Vendée, l’autre des Deux-Sèvres, les deux ex-ingénieurs en aéronautique souhaitaient revenir près de leurs familles et amis après une dizaine d’années à Paris pour les études et le premier job.

«  C’est en voyant ma sœur à la tête d’un concept similaire à Bordeaux (1), ouvert en 2019, que j’ai eu l’idée de créer La laiterie nantaise  », se souvient la jeune femme devant ses locaux de près de 100 m², encore en pleins travaux d’aménagement.

Lait de foin de Bouvron

Le moteur des néolaitiers ? Travailler de leurs mains au quotidien un métier en accord avec des valeurs éthiques, de proximité et d’artisanat. L’année dernière, ils profitent d’avoir un peu de temps en chômage partiel imposé à cause de la pandémie, pour se former à l’école de l’industrie laitière. En parallèle de leur boulot, ils enchaînent théorie et stages pratiques dans des fermes du Jura et des Deux-Sèvres.

Pas de vaches en ville. Ils iront chercher leur lait cru à Bouvron, à 35 km au nord de Nantes, auprès de l’éleveur Ghislain Maillard. «  Nous sommes exigeants sur le lait, qui doit être labellisé lait de foin, ce qui certifie une alimentation sans OGM, composée à 75 % d’herbe ou de foin  », explique le nouvel entrepreneur. Propriétaire d’une citerne, il ira chercher la matière première deux à trois fois par semaine, soit autour de 1 500 litres de lait hebdomadaire.

(1) Il existe des laiteries urbaines à Paris, Marseille, Lyon, Toulouse et Pau.

La laiterie nantaise, 5, allée Assia-Djebar, à Nantes, ouverture prévue fin juin, du mardi au samedi, de 10 h à 19 h, contact@laiterienantaise.fr.

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