Retour en images sur les rentrées 2019/2020 à l’ENIL de Mamirolle


Apprentis CAPA 1ère année :

Apprentis CAPA 2ème année :

Apprentis BP IA 1ère année et stagiaires BP IA FC :

Apprentis BP IA 2ème année :

Apprentis Bac Pro BIT1 :

Apprentis BTSA STA PL1 et stagiaires BTSA STA PL :

Apprentis BTSA STA PL2 :

Etudiants BTSA STA PL1 :

Etudiants BTSA STA PL2 :

Etudiants BTSA Anabiotec 1 & 2 :

Etudiants BTSA Gemeau 1 :

Apprentis BTSA Gemeau 1 :

Etudiants et apprentis BTSA Gemeau 2 :

Apprentis Licence Pro Produits Laitiers :

Apprentis LICENCE Pro GASTE :

Apprentis CAPA 1ère année :

Apprentis CS :

Stagiaires titre pro technicien traitement des eaux :

Photos : Delphine COMPTE

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Voyage d’études des apprentis BTSA Sciences et Technologies des Aliments, Alimentation et Processus Technologiques et Produits Laitiers première année : Jour 5


Ce vendredi 28 juin, nous avons visité l’entreprise Luxlait, implantée à Roost au Luxembourg. Cette société existe depuis 1894 et est présente à Roost sur son site ultra-moderne depuis 2009. Roost étant géographiquement située à égale distance entre la France, la Belgique et l’Allemagne, cela favorise les travailleurs frontaliers et configure à l’entreprise un caractère international de par la provenance géographique de ses salariés. Luxlait est également liée au gouvernement luxembourgeois, ce dernier obligeant les écoles du pays à emmener les enfants au moins une fois visiter l’usine dans un but éducatif et informatif sur la transformation laitière.

Luxlait est le premier groupe luxembourgeois sur le marché des produits laitiers (environ 100 millions d’euros de chiffres d’affaires en 2018 pour 160 millions de litres de lait achetés et transformés). Leur production comprend : des briques de lait UHT et microfiltrés (pour une longue conservation), des desserts lactés, des fromages blancs, du cottage cheese, du beurre, des yaourts brassés et étuvés, de la crème fraîche, des fromages à pâtes pressées et des fromages cuits (type cancoillotte mais sans sel de fonte).

Luxlait est une association agricole appartenant à ses 340 producteurs de lait, tous du Grand-Duché. Afin de leur garantir une situation financière stable, Luxlait s’est engagé à acheter tout le lait de ses agriculteurs, ce qui crée une forme de proximité entre clients et fournisseurs. Leur clientèle se trouve principalement en Belgique et au Luxembourg mais aussi à l’international dont l’Allemagne. Luxlait vient récemment de décrocher le marché des bateaux de croisières.

L’entreprise embauche environ 300 salariés qui sont formés à la maîtrise de la transformation laitière afin de mieux comprendre leur travail quotidien. Pour répondre à la demande de plus en plus croissante et exigeante sur les produits laitiers, l’entreprise s’est dotée de machines à fort potentiel productif comme un butyrateur capable de produire 4 000 tonnes de beurre à l’heure ou de conditionneuses pouvant fabriquer 9000 briques de lait à l’heure. Luxlait possède également son propre vétérinaire et son laboratoire de recherche pour faciliter les analyses microbiologiques.

Cette entreprise, désireuse de s’engager dans une production respectueuse de ses consommateurs et de l’environnement, a réussi à décrocher la norme IFS et possède sa propre station d’épuration. Cette visite nous a permis de mieux comprendre le fonctionnement d’une grosse entreprise et de voir en pratique la théorie vue en cours de génie alimentaire et en génie industriel. Un grand merci à Luxlait et à Mr Herbulot Sébastien et son collaborateur pour leurs temps et leurs explications.

Compte-rendu de la matinée : Alexandre, Romain et James.

 

Informations entreprises visitées :

Informations formation :

Contacts : Christelle MORBOIS, christelle.morbois@educagri.fr et Stéphane MARTIN, stephane.marin99@educagri.fr

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Voyage d’études des apprentis BTSA Sciences et Technologies des Aliments, Alimentation et Processus Technologiques et Produits Laitiers première année : Jour 4


Ce matin, nous avons visité le marché du fromage dans la ville de Gouda, surnommée vallée du fromage. Cet événement est organisé par la ville : c’est une tradition néerlandaise.

Le marché dure l’été et se tient tous les jeudis sur la place principale.

Dans ce marché, on peut y apercevoir beaucoup de gouda mais pas que. Il y a aussi des menuisiers, des sculpteurs de verres, des fabricants de jouets, une boulangerie et toutes autres sortes d’étals qui présentaient leurs produits.

Il y avait une fabrication traditionnelle de Gouda en plein milieu du marché.

Pour commencer, on ajoute le lait dans la cuve, puis on ajoute la présure afin de coaguler le lait et d’obtenir un gel. Le gel est chauffé en dessous de 40 °C, pour être tranché en petits grains (nommés caillé). On enlève alors le lactosérum, on rajoute de l’eau, puis on réchauffe le caillé toujours en dessous de 40 °C. Le lactosérum est encore soutiré mais cette fois-ci on rajoute deux fois plus d’eau que de sérum enlevé. Le caillé est ensuite ramassé avec une poche en plastique puis déposé dans un moule. Avant d’être pressé, on dépose l’estampille au bord du moule puis, on le laisse sous presse pendant 2 heures. Il est ensuite mis en saumure (eau saturée en sel). A la sortie de la saumure, les fromages sont recouverts de paraffine pendant leur période d’affinage. Les petits fromages s’affinent en 15 jours et jusqu’à 8 mois pour les plus gros.

Au cœur du marché, un événement traditionnel se met en place. Il y a différents personnages vêtus avec des habits de l’époque : des négociateurs et des paysans, ainsi que les femmes des paysans. Autour d’eux, de nombreux goudas sont posés sur des palettes à même le sol. Dans le cadre des négociations, l’acheteur propose un prix et tape dans la main du paysan. Si le paysan est satisfait il peut conclure avec un tope-là, mais dans le cas contraire il donne son prix et tape dans la main du négociateur. Le rituel se poursuit tant que les deux partis ne sont pas arrivés à un accord. Un prix est alors fixé et l’acheteur peut alors charger sa charrette avec le ou les fromages qu’il vient d’acheter. L’opération se répète entre l’ensemble des différents acteurs. Une fois leurs achats terminés, les acheteurs quittent le marché avec leur charrette pleine de goudas.

Nous avons été interpellés par les multitudes des canaux de promotion du fromage gouda (banc en forme de gouda, guirlandes de gouda, vélo avec des roues représentant un gouda, installation dans l’eau de gouda factices…).

Compte-rendu de la matinée : Dylan, Guillaume et Trévis.

En ce jeudi 27 juin, par une après-midi de forte chaleur, nous sommes allés visiter la fromagerie du vieux moulin située à Herve en Belgique. Nous avons été accueillis par Madeleine Hanssen qui a hérité de la fromagerie de ses parents. La fromagerie traite 3 200 L tous les deux jours car la fabrication des fromages nécessite un égouttage lent et long, cela permet aussi de réaliser différentes opérations de nettoyage les jours de non production. 5 fromages différents sont produits, différents types de Herve AOP, du brie et une pâte pressée non cuite. Madame Hanssen essaye de valoriser au maximum les sortants issus de la production fromagère : par exemple le lactosérum qui est valorisé par la vente à une porcherie avec un projet de création d’une boisson à base de sérum riche en pro et prébiotiques.

L’Herve du vieux moulin est un fromage de forme carré, orange, il suit deux types d’affinage : piquant (salé deux fois) ou doux (salé une fois). L’Herve du vieux moulin fait l’objet d’une Appellation d’Origine Protégée, c’est à ce jour la seule AOP fromagère belge. Ce fromage est très lié à son terroir : la qualité du sol, de son eau et de son herbe qui contiennent naturellement des Brevibacterium linens plus communément appelé « le ferment du rouge ». Inutile d’ensemencer le lait avec cette bactérie qui se développe lors de l’affinage et qui va apporter du goût et une croûte orangée au fromage.

Madeleine Hansen gérante de la fromagerie est une passionnée qui souhaite valoriser la fabrication traditionnelle de fromage pour inculquer des valeurs « à nous les fromagers de demain ».

Nous remercions Madeleine Hansen de nous avoir accordé du temps, pour avoir retracé l’histoire de ce fromage et pour la présentation de son atelier de fabrication. Nous avons pu déguster les fromages de sa gamme après avoir visionner un film retraçant l’histoire de son entreprise.

Compte-rendu de l’après-midi : Flavien, Anthony et Paul.

 

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Contacts : Christelle MORBOIS, christelle.morbois@educagri.fr et Stéphane MARTIN, stephane.marin99@educagri.fr

 

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Voyage d’études des apprentis BTSA Sciences et Technologies des Aliments, Alimentation et Processus Technologiques et Produits Laitiers première année : Jour 3


Royal FloraHolland est une société coopérative néerlandaise de producteurs de fleurs et la plus importante des maisons de vente de fleurs aux enchères dans le monde.

La société est implantée sur six sites :

  • Aalsmeer,
  • Naaldwijk,
  • Rijnsburg,
  • Venlo,
  • Bleiswijk,
  • Eelde.

Le système de vente de cette entreprise est la vente aux enchères. Inventé en 1870 afin de perdre moins de temps dans les négociations.  Les fleurs étant périssables, elles doivent être vendues dans les 48h.

Royal FloraHolland, c’est aussi :

  • 4,6 milliards d’€ de chiffre d’affaires ;
  • 8,8 millions d’€ par jour ;
  • 30 000 variétés différentes de fleurs et de plantes ;
  • 30 millions de fleurs et de plantes vendues par an ;
  • 120 000 transactions par jour ;
  • 2 500 clients ;
  • Surface total : 1 300 000 m2 (soit 220 terrains de football) dont 56 000 m2 de chambres froides ;
  • Top 5 des pays d’exportation : Allemagne, Grande-Bretagne, France, Italie, Belgique ;
  • Top 5 des pays d’importation : Kenya, Ethiopie, Israël, Belgique, Allemagne.

Compte-rendu de la matinée : Yoann, Richard et Baptiste.

L’après-midi, nous avons pu visiter le village reconstitué de Zaanse Schans, au nord d’Amsterdam, basé sur une représentation typique des villages des Pays-Bas avec ses fameux moulins à vent issus de villages alentours. En effet, entre 1959 et 1974, certains bâtiments ont étés déplacés en raison de projet d’urbanisation et du développement de la ville de Zaanse, mais également dans un but de préservation du patrimoine (le site est classé par l’UNESCO au patrimoine culturel mondial).

Dans l’esprit d’un parc d’attraction, on retrouve de petits musées et lieux de vie à visiter, tels que des moulins, des petites fabriques artisanales et le grand musée Zaanse Museum. Ces attractions mettent en avant des collections d’objets qui ont pour but de nous faire découvrir la région de Zaanse et notamment son aspect industriel par les moulins, mais aussi l’usine de chocolat et de biscuit du début du XXème siècle. Ces dernières sont représentées par l’intermédiaire d’anciennes chaînes de production qui fonctionnent sans production. Cela nous permet de voir en détail la fabrication de ces produits et de remarquer au passage que même si les machines ont évolué, le principe reste toujours le même.

Nous avons également visité l’intérieur d’un moulin à huile toujours en fonctionnement, utilisé et entretenu par un artisan travaillant dans les règles d’autrefois. Les cacahuètes sont broyées sous le poids de meules (environ 2 400kg chacune) entraînées par les pâles et le mécanisme du moulin. Le broyat obtenu est chauffé sur un foyer en pierre à environ 80 °C. Le but est de faciliter l’extraction de la matière grasse. Un fer de brassage rotatif veille à ce que le broyat ne brûle pas. Ce dernier est mis dans des sacs en laine puis placé dans un tapis tissé en crin, couvert d’un cuir résistant. Le tout est placé dans la presse à huile. Cette dernière fonctionne par un mouvement de va et vient d’une poutre. En retombant, la poutre enfonce une cale qui va exercer une forte pression (environ 280 bars) qui extrait l’huile. Le résidu compressé dans la mâchoire forme alors un gâteau très dur qui sera coupé en morceau pour être utilisé pour l’alimentation animale. L’huile extraite est utilisée dans l’alimentation humaine et dans l’industrie du savon par exemple.

Au centre du village, on trouve aussi une fabrique de Gouda et d’autres produits locaux (fromages, miel, chocolat, biscuits…) qui nous permettent de déguster une multitude de ces produits avec des saveurs parfois étonnantes (comme du gouda à la noix de coco, à la lavande, ou des fromages fumés).

Le petit village-musée de Zaanse Schans nous plonge dans le passé avec son décor atypique et son environnement fait de petits champs de céréales et d’animaux, traversées de petits cours d’eau qui créent un labyrinthe dans lequel flâner pendant des heures.

Sur le chemin du retour, nous nous sommes arrêtés à Amsterdam pour visiter la ville.

Compte-rendu de l’après-midi : Franklin, Benoît et Dylan.

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Voyage d’études des apprentis BTSA Sciences et Technologies des Aliments, Alimentation et Processus Technologiques et Produits Laitiers première année : Jour 2


Ce matin, nous avons visité une brasserie belge du nom de Belgicus située à Liège en Belgique.

Elle fabrique 3 sortes de bières artisanales :

  • une bière blonde appelée Gold Belgian Pale Ale,
  • une rouge nommée Red Strawberry Ale,
  • une noire baptisée Dark Coal Sweet Milkstout.

Le responsable de production nous a initié à la fabrication de ses bières par des bases brassicoles. Pour l’élaboration d’une bière type, on y injecte de l’eau, de l’orge torréfiée appelé malt, de la levure et du houblon en pellet. Lors de l’utilisation du houblon, le brasseur opte pour des notes ressemblantes à celles d’aneth, du citron ou encore de litchi.

La première phase de la fabrication commence par le broyage du malt dans des moulins le jour même.

Par la suite, on procède au brassage qui consiste à chauffer les grains concassés avec de l’eau et on mélange le tout. Cela permet d’extraire les sucres et les enzymes. Cette étape dure environ 1h30.

Dans la continuité, on filtre le moût par recirculation dans le tank de brassage pour établir un gâteau qui sera le support de la filtration. Cela dure environ 15 à 20 minutes. Les drêches sont retirées et sont recyclées et données à des agriculteurs pour le bétail.

On enchaîne ensuite par le transfert du moût dans une autre cuve. On le fait bouillir pendant environ 1h30 pour le stériliser et on y ajoute des épices comme la coriandre, le cumin, des oranges ou des citrons.

Dans la suite de la fabrication de la bière, on fait passer le moût dans un échangeur à plaques pour le refroidir à 22 °C et le transférer dans un fermenteur. On y ajoute plus tard de la levure lyophilisée. Il s’écoule une semaine pour que la fermentation soit arrêtée et que la bière soit stockée dans une cuve de garde pendant 2 semaines pour en retirer ce qui est en suspension et la levure.

Pour finir, le brasseur a le choix entre 2 types de mise en bouteille. Il peut procéder par une refermentation en bouteille en ajoutant du sucre et de la levure ou un embouteillage iso-barométrique en ajoutant du CO2. L’étiquetage se fait avant la mise en bouteille de la bière. L’embouteilleuse a un débit de 1500 bouteilles à l’heure.

Compte-rendu de la matinée : Richard, Valentin, Hugo et Selmene.

L’après-midi, nous avons été accueillis par Mirjam MATZE à la ferme « Le Genneper Hoeven » à Eindhoven.

Elle existe depuis 2002, elle compte 25 employés et des bénévoles. Celle-ci travaille avec une entreprise de réinsertion sociale (burn-out, personnes avec certains handicaps), élèves provenant de différentes écoles (commerciale, agricole).

La ferme se compose de :

  • 40 vaches laitières,
  • 2 taureaux, veaux,
  • 600 poules,
  • 8 cochons,
  • 50 hectares (25 ha agricoles, 15 ha type jachère),
  • une fromagerie et un magasin de vente (8 gouda au lait cru bio affiné pendant 3 à 24 mois muni d’une cire végétale afin d’améliorer la conservation, huiles végétales).

La ferme accueille 60 000 personnes à l’année, dont 200 classes. Elle est ouverte 7j/7j.

Le magasin vend les produits de la ferme, dont 2/3 sont donnés à des associations caritatives, la plantation est faite avec des bénévoles.

Tous les produits sont cultivés en biodynamie (respect des animaux et de l’environnement, prise en compte des astres), 100 % bio.

Durant l’été, au sein de la ferme des pièces de théâtre sont jouées.

Le ferme cultive des céréales et fait moudre son grain (blé, épeautre, seigle) dans un moulin. La farine obtenue est transformée en pain par un boulanger. Ce pain est revendu au magasin de vente de la ferme.

La ferme pratique également la biodiversité en laissant une partie des récoltes pour les insectes. L’alimentation des animaux provient exclusivement des champs de culture ; on peut donc dire que la ferme est proche de l’auto-suffisance.

Pendant de nombreuses années la ferme a bénéficié d’aides de l’état. Aujourd’hui les aides peuvent être ponctuelles. Les fermiers ont pour projet d’installer des panneaux solaires sur les bâtiments de ferme et de créer une structure type snacking.

Compte-rendu de l’après-midi : Emma, Laurine, Gaëlle et Camille.

Informations entreprises visitées :

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Contacts : Christelle MORBOIS, christelle.morbois@educagri.fr et Stéphane MARTIN, stephane.marin99@educagri.fr

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Voyage d’études des apprentis BTSA Sciences et Technologies des Aliments, Alimentation et Processus Technologiques et Produits Laitiers première année : Jour 1


Lundi 24 juin, nous avons visité la fromagerie Ermitage de Bulgnéville. Le Directeur, Monsieur Monnet nous a accueilli. La visite des différents ateliers a été réalisée par Monsieur Thierry Nicolas, ancien élève de l’ENIL de Mamirolle.

Le groupe Ermitage emploie 1002 personnes. La maison mère est à Bulgnéville. 650 personnes soit les 2/3 y travaillent. Le tiers restant est en Franche-Comté.

Le site de Bulgnéville c’est :

  • 25 000 tonnes de fromages par an,
  • 390 millions de chiffre d’affaires pour un litrage total de 500 millions de litres de lait par an.

Les différents sites fabriquent :

  • des pâtes molles à croûte fleurie,
  • des pâtes molles à croûte lavée,
  • des pâtes pressées cuites (emmental) et non cuites.

Sur le site de Bulgnéville nous avons également visité :

  • l’atelier de concentration et séchage de lactosérum. Nous nous sommes particulièrement attardés dans les locaux automatisés de stockage des big bag (1T) de poudre.
  • l’atelier de découpe et de conditionnement d’emmental râpé et en portion.

Nous nous sommes ensuite rendus en Belgique dans une auberge de jeunesse à Champlon proche de Bastogne.

Compte-rendu de la première journée : Alexandra, Gaëlle, Chloé et Marine.

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Contacts : Christelle MORBOIS, christelle.morbois@educagri.fr et Stéphane MARTIN, stephane.marin99@educagri.fr

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